A la Mer de Sable

Jenny sentit une main l'étraigner au poignet gauche et la tirer en arrière. Elle se retourna vivement, la douleur à son épaule lui faisant atrocement mal. Après un gémissement justifié, elle les yeux vers le vieil homme qui se mit à lui faire la moral et la traiter d'effronter. Une rage sans limite se mit à bouillonner dans ses veines à mesures que Basch la sermonnait. Elle prenait trop initiative riddicule?! Et alors?! Elle faisait quelque chose, elle! Oui elle ne connaissait pas les lois et les habitudes de ce monde, mais elle devait réagire vite, peu importait le reste. Après qu'il eut finit et qu'il alla demander à un soldat d'aller chercher son second, il revint, lui annonçant d'embler la couleur. Il fallait qu'elle fasse l'hystérique, hein?! Lui faire peur?! Pas besoin de faire ceci pour effrayer... Sans dire un seul mot, elle fit demi-tour et se dirigea dans le bar dans lequel elle disparut une minute avant de revenir, armes en main. Elle jeta un regard noir à l'homme et le suivit jusqu'à chez lui....

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Jenny avait réagis exactement comme il l'avait prédit. Il avait préparé ses arguments avec soin mais elle ne lui laissa pas le temps d'en placer une. En vérité, la fille exaspérait Basch. Ce dernier connaissait trop bien les lois du pays, pour en avoir mise une ou deux sur le papier...
Jenny s'était calmée et lui disait qu'ils allaient aller le libérer de prison. Il la laissa faire. Elle descendit et parla au vieux. Basch lui, commencait à peine à se lever de son siège et soupirait. Il laissa douze gils sur la table.

Je refuse qu'on paye pour moi. C'est un principe d'honneur.

Ils sortirent et Jenny lui expliqua son plan, sans même le consulter, elle commenca à partir. mais là, s'en était trop. Il la rattrapa par le poignet et la ramena près de lui d'un coup sec, ce qui valu un petit couinnement de la part de la fille (c'était le poignet gauche). Sa voix grondait dans un chuchotement. Il ne fallait pas que le peuple soit au courant de leur intentions.

Maintenant ma petite, tu vas m'écouter ! T'es pas dans ton pays, tu connais rien ici alors tu as interêt à te faire toute petite d'aurénavent ! Je me fiche complètement que ton gars soit en prison, et je suis d'accord sur le principe pour le libérer simplement parce que je trouve cet emprisonnement absurde ! Et en plus je veux découvrir le traître pour le faire à son tour emprisonner.
Mais ça ne sert à rien de faire ça à l'arrache, et surtout, sans m'avoir consulté !

Son regard allait droit dans les yeux de la petite Jenny et semblait la transpercer. Elle, étonnée que le guerrier réagisse comme ça. Il continua.

Au cas ou tu l'avais oublié, je ne suis pas un voleur, et encore moins un bandit ! Mais le capitaine 1ere classe de l'ordre des chevaliers ! Et ton tempérament fougueux n'est pas une excuse à ton attitude !
Bien. Maintenant que tu as l'air un peu calmée, il y a deux choses que je veux dire. Premièrement, il est hors de question que je me fasse arrêter avec mon Solaris. C'est mon arme ultime et tu pense bien que lorsque les gardes la verront, ils la prendront pour eux. Ils ne la mettront pas avec les objets des prisonniers.
Ensuite, certains gardes sont corrompus, mais d'autres sont toujours droits. Et il est hors de question que j'attaque quelqu'un qui soit honnete. Néanmoins, on est en droit de penser que les bons gardes ont été contactés par le traître pour les ralier à sa cause. Donc c'est par là qu'on va commencer.
D'abord, on va passer chez moi pour prendre une épée autre que le Solaris et je vais dissimuler une des nombreuses dagues de ma collection. Et je vais convoquer un amis à moi depuis toujours. C'est mon second. Pour qu'il me renseigne sur les traîtres. Ils ont dû le contacter lui aussi mais il ne se laissera jamais entrainer la-dedans. Le seul truc, c'est qu'il va faloir le faire parler parce qu'il doit évidement y avoir du chantage. Sans ça, c'est clair qu'il m'en aurait parlé.
Pour le convaincre, je compte sur toi, tu jouera l'hystérique qui voudra à tout pris le tuer s'il ne dit rien.

Bien. On y va ?

Basch parti vers un garde pour qu'il courre au guartier général afin de dire au Second qu'il est convoqué chez le capitaine même.
Puis il revint vers Jenny qui n'avait pas bougé.

On va chez moi, mon ami devrait y être d'ici une demi heure. C'est suffisant pour nous rendre chez moi et changer d'arme. On part.

Il ne laissait à vrai dire, pas le choix à la jeune fille. C'était comme ça et pas autrement. Ils parcoururent les rues.

(suite dans la demeure des Ronsenburg et aufaite, j'ai déjà retiré les 12 gils de mon profil. t'as pas à le faire)

Jenny écouta attentivement Basch sans jamais l'interrompre et resta silencieuse une fois qu'il eu finit. Elle avait mal à la tête et se sentait encore affaiblit de sa blessure, mais elle garda la tête haute, réfléchissantà ce qu'elle devait faire pour le libérer, car elle allait le faire, quitte à y passer, même si cela était stupide. Elle baissa les yeux vers les choppes vides posaient sur la tables et eut soudain une vague de colère. Picoler? C'est tout ce qu'il faisait? Est-ce que cela allait arranger les choses?! Alors qu'il finissait sa quatrième choppe et jetait un coup d'oeil du côté du serveur pour essayer de commander une cinquième, la patience de la fille céda et elle se leva d'un bond, faisant tomber sa chaise et frappant violemment la table de ses mains.

- Eh bien, ce n'est pas en vous comportant comme un ivrogne que cela va arranger la situation! Ils veulent le torturer?! Qu'ils me passent sur le corps avant!! Il a trop souffert dans le passé, S'il est devenu comme ça c'est justement parce que l'on a fait des expériences immondes sur son corps! Je ne peux me permettre qu'il lui arrive à nouveau ce genre de chose! Si une personne que vous connaissez s'en ai prit à lui, alors c'est à vous d'aller le corriger! Allons ensemble le libérer, quitte à se faire enfermer également pour le rejoindre et...... Oh!

Elle s'interrompit soudainement, réalisant que ce qu'elle venait de dire était pas si fou que cela. Elle se redressa et regarda derrière elle, les personnes du bar ne semblant pas l'avoir entendu malgrés son pêtage de fusible. Elle refit face à l'homme et reprit avec cette fois ci un sourire satisfait:

- Oui, parfait! Faisons nous envoyer en prison et allons le libérer! Cela ne doit pas être très compliqué de se faire chopper... Hum... J'AI UNE IDEE! Suivez moi!

Elle descendit les marches mais stoppa net, remontant à toute allure pour chercher quelque chose des yeux, dès qu'elle eut trouvé elle s'approcha d'un coin de verdure et y cacha son katana ainsi que son flingue. Satisfaite elle se retourna pour voir le regard surprit de Basch. Elle sourit et fit apparaître d'on ne sait où des petites lames fines et tranchantes:

- Si l'on se fait capturer, je refuse que quelqu'un met ses sales pattes sur mes armes! Et ces lames me seront utile une fois enfermé! ^_^ Bon il est vrai qu'en temps normal, je ne les utilise jamais, mais on n'ai jamais trop prudent!

Elle descendit alors l'escaliers, cette fois ci pour de bon et se dirigea vers le vieux. Elle s'accroupit et l'observa avec un sourire joyeux:

- Eh le vieux! On s'est fait le fameux Texta! Mais on ne veut pas de la récompense, en échange, si tu pouvais payer les chopes que ce crétin à vidé et les frais d'hosto... t'en fais pas c'est pas cher, je me suis barré avant! ^_^

Elle se releva et fit un signe de la main à Basch afin qu'il la rejoigne pendant qu'elle sortait dans la rue pour chercher un impériau. Lorsqu'elle repera l'une des armures vivantes, elle se retourna vers Basch et lui fit un topo:

- Bien, alors voilà le plan! Toi tu vas en frapper un et moi je vais en détrousser un autre, je suis douée pour ce genre de chose, quand on rentre chez les Turks, c'est qu'on pas trop net! XD. Dans les deux cas, on se retrouvera forcément enfermé! Quoi que si t'as pas envie de te fire frapper à ton tour, cherche une autre tactique... Aller GO!

Elle s'éloigna vers l'un des impériaux qui l'avaient déjà repéré et attendait de savoir ce qu'une jeune femme leur voulaient...

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Après l'épisode du désert...

Jenny rentra dans le bar et se dirigea directement vers l'étage, ne jetant même pas un regard vers le vieu demandeur pour le Texta. Elle sentait en elle un pincement, de la colère mélangé avec de la peur.
Elle s'était réveillé dans un lit d'hopital avec des infirmière acourant un peu partout autour d'elle, sans lui dire quoi que se soit ou juste pour lui parler comme un enfant, avait-elle l'air si gamine? Un docteur lui avait enfin adressé la parole, mais se ne fut que pour lui parler de ses blessures.

"Vous avez eu une forte hémoragie à l'épaule gauche causa une perte invraisemblable de sang, nous nous demandons encore comment vous avez fait pour survivre avec si peu de sang dans le corps... Il faudra changer souvent votre bandage et manger beaucoup, il faut également du repos et........."

Elle avait eu le droit aux mode d'emploi du blessé grave, et elle avait finit par s'enfuir de l'hosto, s'inquiètant de n'avoir pas vu Vincent, ni Basch à son chevet, aucunes infirmière ne voulant lui parler de son arrivée dans l'enceinte du bâtiment. Jenny était pourtant sûr qu'il s'était passé quelques chose d'important pendant qu'elle était inconsciente, et ça, c'était ce qui l'agaçait le plus. Elle ne se souvenait d'un hurlement grave, qui lui donnait des frissons rien qu'en se le rappelant, il n'avait rien d'humain et elle avait peur que se soit Vincent sous sa forme Chaos. Elle était au courant pour sa forme, en temps que chef des Turks, elle se devait de connaitre le passé et les misères de ses hommes. Il est vrai qu'elle avait eu une petite frayeur en apprenant qu'il possèdait des cellules de Chaos mais cela ne lui posait aucun problème car, comme tout le monde le savait (l'horreur lol), elle en était tombé amoureuse, avec ou sans ses défauts.

Elle aperçut enfin la silhouette qu'elle cherchait et s'avança vers elle. La Turks en chef s'arrêta et s'asseya sans la moindre gêne, en face de Basch. Elle garda le silence un moment, puis, le regard figé sur celui de l'homme, elle ne prononça qu'une phrase, mais il signifiait clairement qu'elle voulit une réponse précise et sans mensonges:

- Où est Vincent?!

La réaction de Jenny le surprit car, se fut la première fois qu'il la voyait se comporter de cette manière. Vincent se demanda ce qu'elle pouvait bien cacher derrière ce sourire et ses moments de folies et il était sûr ne pas être au bout de ses suprises avec elle... Alors que Basch confirmait la mission et leur donnait rendez vous dans le désert ouest, Vincent en profita pour tirer Jenny plus loin pour lui parler.

- comment savais-tu pour le vieillard?!

- Ca, c'est mon petit secret! ^^ Les filles sont pleines de mystère, mon coeur!

Il resta silencieux devant cette déclaration dit avec une banalité infligeante. Il soupira et finit par jeter un coup d'oeil vers la porte.

- Bon, je vais voir si je trouve des potions, vas donc le rejoindre...

Cette fois ci il tira sur sa main pour que Jenny le lâche et s'en aller, un peu vexé de ne pas savoir ce que cachait la fille, fille qui ne semblait ne l'avoir même pas remarqué...

Après son explication, Basch leur proposa une mission. Jenny ne répondit pas tout de suite attendant la site des événements. Elle se détendit lorsque Vincent accepta la proposition. Voyant la feuille juste à côté d'elle, la Turk la choppa en douce pour voir la tête de la créature. Elle resta une minute silencieuse à mater la photo et finit par s'exclamer d'une voix amusée:

- Eh ben v'là pas la tronche du chien! Et tu dis qu'il est plus grand que les autres?! Tsss ça risque d'être très... distrayant...

Elle avait dit le dernier mot avec un air provocateur et une voix étrange, mystérieuse, voire inconnue à Midgar. Elle n'avait plus l'habitude de se battre contre des monstres de grandes tailles et déjà, elle ressentait le besoin d'aller tuer cette créature, son sang bouillonnant. Elle avait du sang de guerrière dans les veines à cause des membres de sa famille trop téméraires et aventurier... Jenny avait vécu dans cette manière de penser et elle ne pouvait s'empêcher d'aimer le combat, même s'il pouvait être perdu d'avance. La tête baissée sur le contrat elle sentit alors les regards des deux hommes dirigés sur elle. Elle leva la tête vers eux, afficahnt un sourire sans joie mais qui le voulait et rendit la fiche à Basch:

- Bien, allons confirmer cette mission, il me tarde de m'y rendre...

Son sourire devint légèrement sadique mais heureusement les deux hommes ne l'aperçurent pas. Elle se dirigea vers la sortit du bar, tenant toujours Vincent par la main mais s'arrêta devant un homme couché à terre, l'air complétement ivre. Un seul regard suffit pour qu'elle devine mystérieusement qu'il s'agissait du client de la mission. Elle s'agenouilla, la main toujours accroché à Vincent, et regarda l'homme:

- C'est vous qui voulez vous débarrassez de Texta? Et bien vous avez trois personnes ici présente qui vous propose d'aller le terrasser... Acceptez vous?

Le vieil homme la dévisagea surprit et regarda ensuite les deux hommes, apparemment tout aussi surprit par l'intuition de la fille...

Basch avait clairement comprit le regard suspicieux de Vincent qui ne put s'empêcher d'avoir un leger trésaillement. Il observa ensuite l'homme prendre une des annonces et leur montrer tout en leut expliquant de quoi il s'agissait. Vincent voulu la prendre mais réalisa que sa main était toujours dans celles de Jenny. Il eut une réaction qui le surprit lui même: au lieu de demander à la femme de le lâcher, il tendit sa main gauche qu'il n'aimait pourtant pas montrer en évidence pour prendre le papier. Il lut la description et l'image du Texta. Après constatation il leva la tête vers Basch et acquiéça:

- Bien, j'accepte. Amènent nous dans ce désert ouest, là où se trouve cette créature... a moins qu'il faut faire quelque chose avant?

Il se rendit compte que la fiche avait disaput de sa main et que Jenny était à présent en train de la lire, une main toujours accorchée à la sienne. Il baissa la tête, faisant disparaître sa bouche dans son col pour caché un début de sourire: cette fille était vraiment entété et ne voulait pas le lâcher...

La silhouette aperçut en haut des marches bougea et s'avança vers eux, son regard fixé sur Jenny au moment où il s'arrêta devant eux. Il se présenta avec une banalité qui donnait à Vincent une sensation de provocation. Il voulait les guider pour la chasse aux monstres, ayant comprit qu'ils n'étaient pas d'ici. Cette remarque l'agaça, il pouvait très bien se débrouiller seul et la présence de Jenny, mise à part le comportement, était bénéfique car elle savait également se battre seule ou en équipe. Il garda le silence se disant que cela allait le faire partir, quitte à le renvoyer balader, mais se fut ce moment là que la Turk se mit devant lui pour répondre à l'autre homme. Elle lui dit son nom et lui posa une question sur le pourquoi de cette proposition. A ce moment là, Vincnent se demanda si cet homme n'était pas alors un bandit cherchant des cibles; que dehors, son groupe les attendait, près à les dépouiller, les capturer, les tuer ou pire encore... violer la jeune femme!
Jenny se retourna vers lui et sembla térrifié par la dureté de son regard. Une envie d'attaquer ce Basch le tenaillait mais il sentit alors des mains se refermer sur sa main droite, la plus proche de son pistolet, et la serrer. Il baissa son regard vers la Turk et fut surprit de voir un regard si reconfortant venir d'une hystérique par nature. Cela néanmoins le réconforta et il finit par dévier son regard, les yeux plongé dans ceux de celle-ci qui souriait, pleine de joie et de confiance. Il aurait souhaité lui dire ses doutes sur Basch mais Jenny semblait vouloir que ce chevalier les guide à travers les plaines ou désert, selon l'endroit où ils se rendraient... Il se résigna et se dit que s'il arrivait quoi que se soit de fâcheux il resterait vigilant et pourrait ainsi contrer si les choses tourner mal. Il jeta un coup d'oeil à l'homme et finit par parler de sa voix rauque:

-......Vincent Valentine...... Pourquoi nous avoir proposer votre aide?!

Il continua d'observer d'un air soupçonneux le chevalier mais se retenait de dire quoi que se soit d'autre, du moins, tant qu'ils seraient dans le bar et que Jenny soit hors de porté de qui que se soit. D'ailleur celle-ci continuait de lui tenir la main et ne semblait pas vouloir la lâcher de sitôt...

Jenny vit un homme venir vers eux et elle comprit que c'était lui qui les épiait depuis leur arrivée. Elle l'écouta se présenter et se tut, attendant une réponse de leur part. Vincent le regardait d'un air pas rassurant et Jenny préféra intervenir avant lui. Elle se plaça en un petit bond devant l'homme et sourit gentiment à l'étranger:

- Eh bien moi c'est Jenny! Scuse moi si je te dit pas mon nom mais je ne le dit à personne, même pas au président Shin-RA, c'est pour dire... enfin bref! Tu as en effet raison, nous ne sommes pas d'ici et on ne sait encore moins comment on fait pour s'inscrire et tout le tatouin... Moi je veux bien, mais tu vas nous demander quoi en échange? Tu vas quand même pas faire ça gratos?!

Elle croisa les bras et le dévisagea sans gêne. Il semblait avoir la trentaine et avait une cicatrice sur le front. Il avait l'air d'un bon gros bourrin, ce qui fit rire Jenny car cela lui rappelait Auron. Derrière elle, Vincent n'avait pas bougé d'un pouce et par curiosité elle se retourna vers lui:

- Ben qu'est ce que t'as, t'es mort ou....

Elle s'interrompit soudainement en voyant l'expression de l'homme qui paraissait possédé: son visage était impassible mais ses yeux grand ouvert regardaient sans siller Basch comme s'il voulait lire ses pensées ou simplement chercher une faiblesse quelconque du chevalier. Elle aperçut que ses mains étaient fermées en des poings dangeureux. Ne voulant pas qu'une bataille commence pour une raison qu'elle et Basch ignorée, elle prit la main droite de l'homme entre les siennes et le regarda avec un regard tendre et reconfortant qu'elle avait l'habitude de faire à ses amis de Spira lorsqu'ils ne se sentaient pas bien...

Après un petit problème dans le train, Jenny n'osé plus dire quoi que se soit à Vincent, alors qu'ils marchaient tout les deux côte à côte dans la ville. Elle avait été tellement heureuse en apprenant qu'il allait au même endroit qu'elle et qu'il accepté qu'ils y aillent ensemble l'avait mise tellement en joie qu'elle n'avait pas put s'empêcher de faire son interressante. A présent elle n'osait même pas le regarder ni même parler. Ils marchaient déjà depuis de bonnes minutes sans trouver le coin des recherches de contrats. Heureusement des petits mogs leur indiqua un bar où se trouvait un panneau de contrats. Après leur rencontre avec ces Mogs, jenny sentait à nouveau la joie de vivre couler à flot dans ses veines -en général, tout ce qui est trognon la rendait folle- et se ne fut que lorsqu'ils rentrèrent dans le bar en question qu'elle éclata à nouveau et courut comme une dératée vers le fameux panneaux.

- AHA!! Le voilà!!! Vincent il est là! Aller viens!

Elle souriait et faisait de petits bons devant le mur des annonces pendant que Vincent s'approchait à pas lent, l'air songeur. Le visage tout de fois toujours souriant, elle eut un froncement de sourcils inquiet lrsqu'elle s'en aperçut.

- Ben quoi? T'es pas content? Oh... c'est encore moi c'est ça..... Ben t'as qu'a m'attacher ou me tenir encore contre toi!!

Son expression triste se changea en sourir et elle éclata de rire. Elle s'était juré de ne jamais montrer la moindre tristesse sur son visage et s'efforcer de garder un visage souriant ou neutre quoi qu'il arrive. Alors qu'elle allait encore essayer de lui sauter dessus, elle se sentit observé. Pas un de ces regards que les clients du bar lui faisaient, mais plutôt un regard fixe, insistant... Etait-ce cette sensation que Vincent avait tout à l'heure?

Basch entre dans le bar. La salle est assez vide à cette heure-ci, et c'est bien pour ça qu'il vient. Il dit bonjour au patron en passant près du comptoir qu'il connait tant. L'habitué monte les escaliers et va à l'étage surélevé et s'assit à une des tables. Il vira en même temps les trois autres chaises de la table et s'assit face à la ballustrade. D'ici il voit le panneau des contrats, et pense qu'il faudra qu'il se dégourdisse les pattes et qu'il aille chasser un peu.
Le nouveau serveur du bar s'avance vers lui, un peu intimidé par le capitaine. Ce dernier ne lui laisse pas le temps de poser sa question :

Une choppe de bière, merci.

Le serveur s'execute sans mots et lui apporte la choppe contre 3 gils.
Basch attend quelqu'un. Il ne sait pas encore qui, et quand, mais il sait que quelqu'un va venir.


Edit Jenny: Tu as dépenser 3 gils, c'est à retirer de ton argent! ^_^ (dsl c'est le jeu! lol)